« Une voix crie dans le désert… » (Es 40. 1) Dans le désert spirituel de notre monde, une voix crie, encore et toujours. C’est la voix de Dieu, voix que l’Eglise doit sans cesse faire résonner. C’est la voix du Dieu vivant, créateur, voix de ce Dieu qui se fait homme en Jésus pour sauver l’humanité perdue. En ce temps de

« Pressés de toutes part… » « Pressés de toutes part, nous ne sommes pas écrasés ; dans des impasses, mais nous arrivons à passer ; pourchassés, mais non rejoints ; terrassés, mais non achevés… » Dans sa seconde lettre aux chrétiens de Corinthe, l’apôtre Paul ouvre son cœur. Il évoque son ministère, son service pour l’église de Jésus Christ. Il passe

« J’aurai le regard sur toi...» (Ps 32. 8) « Le cœur de l’homme médite sa voie, c’est l’Eternel qui dirige ses pas » (Prov. 16. 9) « Gouverner, c’est prévoir » Cette maxime attribuée à Adolphe Thiers, reprise par Emile de Girardin, revient ces jours-ci au cœur de l’actualité. Une actualité qui met en évidence les limites de cette pensée. Certes,

« J’aurai le regard sur toi...» (Ps 32. 8) « Je t’instruirai et te montrerai la voie que tu dois suivre ; je te conseillerai, j’aurai le regard sur toi ». C’est la réponse de Dieu à l’engagement de David au Ps 32. David redécouvre la grâce de Dieu. Il confesse ses fautes avec sincérité. Il ouvre son cœur, exprime ses craintes